ben oui je réponds à une reflexion que je trouve bete.....Merineferet a écrit : ↑17 août 2024 19:30titanhac76 a écrit : ↑17 août 2024 19:23Parce que je réponds je n'autorise pas ? Tu à de ces réflexions des fois......titanhac76 a écrit : ↑17 août 2024 17:41Mboulard...bien franchouillard comme réflexion et bien débile
[ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
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titanhac76
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
On en parle de Bayo titulaire ce soir contre Luka Elsner? 
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Merineferet
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Merineferet a écrit : ↑17 août 2024 19:16Question anciens havrais:
- Reims Lille: Bayo titulaire contre l'équipe d'Elsner.
- Parme Fiorentina: Woyo Coulibaly titulaire en série a, contre l'équipe de Richardson.
"Ils arboraient une fière et belle tunique, où le bleu magnifique de la mer immense se mêlait, dans une danse superbe, avec celui, non moins élégant, du ciel vaste et infini".
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Toutes mes excusesMerineferet a écrit : ↑17 août 2024 20:00Merineferet a écrit : ↑17 août 2024 19:16Question anciens havrais:
- Reims Lille: Bayo titulaire contre l'équipe d'Elsner.
- Parme Fiorentina: Woyo Coulibaly titulaire en série a, contre l'équipe de Richardson.
...Sans doute l'incrédulité à la première lecture de cette info. 
En même temps, avec les joueurs qui l'entourent, il ne peut que briller!
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Tout a fait d'accord, des Sangante kechta targhaline, casimir operi avec le maillot havrais me donne + de frissons que des mbappe et MessiMerineferet a écrit : ↑17 août 2024 18:57Et c'est tout à ton honneur.
Ce qui me gêne, ce n'est pas ton amour du foot en général qui est un droit.
Par contre tu n'hésites pas être critique envers le club que tu supportes, le hac, mais il ne faut surtout pas, selon toi, oser dire quelque chose de négatif sur une "star" française.
Pour ma part, mes stars ne s'appellent pas MBappe qui, je trouve, a quand même un sacré boulard. D'ailleurs, un mec comme Barcola a le talent et la mentalité pour faire une excellente saison en remplacement.
Elles s'appellent Lloris, Kechta, Sabbi et autres du hac.
Et puisqu'il est question d'anciens hacmen, on peut citer Mateta, si on reste dans l'esprit bleu et olympique.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Bade se dirige vers l’Allemagne pour 20M.
Comme dit dans un autre sujet le HAC devrait récupérer 1,5%.
https://x.com/santi_j_fm/status/1824849 ... qkiq-D4UOg
Comme dit dans un autre sujet le HAC devrait récupérer 1,5%.
https://x.com/santi_j_fm/status/1824849 ... qkiq-D4UOg
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
J'ai vu le match et franchement Woyo a fait une bonne prestation : titulaire, il a peu souffert face à des adversaires encore en rodage. Amir est lui resté sur le banc.Merineferet a écrit : ↑17 août 2024 19:16 - Parme Fiorentina: Woyo Coulibaly titulaire en série a, contre l'équipe de Richardson.
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titanhac76
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Bayo 3 dans l'équipe......il progresse !
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Ayew sur les tablettes de Brest .
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Sur le forum du stade de Reims, de très nombreuses critiques sur la première composition d'elsner ! Des supporters très inquiets pour la suite...
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Merineferet
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Nous n'avons pas le même maillot, mais nous avons la même passion, râler par anticipation 
"Ils arboraient une fière et belle tunique, où le bleu magnifique de la mer immense se mêlait, dans une danse superbe, avec celui, non moins élégant, du ciel vaste et infini".
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Les rémois vont gagner à Marseille 1 à 0.
C'est mon scoop de la semaine pour les pronostiqueurs de ligue 1.
"Il faut une grande maturité pour comprendre que l'opinion que nous défendons n'est que notre hypothèse préférée ,imparfaite ,transitoire ,que seuls les très bornés peuvent faire passer pour une certitude ou une vérité."" Milan Kundera.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Non non.
"Il faut une grande maturité pour comprendre que l'opinion que nous défendons n'est que notre hypothèse préférée ,imparfaite ,transitoire ,que seuls les très bornés peuvent faire passer pour une certitude ou une vérité."" Milan Kundera.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Football – Ligue 1 : « Chapeau au HAC ! », dit Sébastien Mazure, ex-Havrais et ancien Vert
Un joueur, deux maillots. Zoom sur les « ex » du HAC et de ses futurs adversaires. Avant l’étape à Saint-Étienne, samedi 25 août 2024 (21 h), nous avons retrouvé Sébastien Mazure, formé à la Cavée Verte, révélé en ciel et marine. Un attaquant dont la carrière a fait escale dans le Forez.
Formé et révélé au HAC, Sébastien Mazure a effectué une courte escale à Saint-Etienne, là où sont attendus samedi les Ciel et Marine
Dédiée aux anciens acteurs du Havre AC vus sous les couleurs des prochains adversaires du club doyen, cette rubrique s’ouvre avec Sébastien Mazure (45 ans), ex-pensionnaire de la Cavée Verte, lancé sur la scène professionnelle un soir de septembre 2000, dans l’antre du Stade Malherbe de Caen. Malherbe, où il fit par la suite l’essentiel de sa carrière (2001-2005, 2006-2009), non sans avoir effectué un crochet par Saint-Étienne, saison 2005-2006, en Ligue 1.
« Ce but a changé le cours de mon histoire »
C’est Joël Beaujouan, l’entraîneur avec lequel il entra au palmarès de feu le championnat de France des réserves (2000), qui lui a offert une première plongée avec les pros, le 9 septembre 2000, à Caen. La première de ses seize apparitions avec le HAC (Coupes et L2), dont l’une restera à jamais gravée. Nous sommes le 6 janvier 2001, Jean-François Domergue vient alors de prendre le relais de Beaujouan sur le banc. Et pour les débuts du champion d’Europe 1984 se profile un choc avec l’OM (L1), à Deschaseaux, pour le compte du 2e tour de la Coupe de la Ligue. Duel remporté par les Ciel et Marine (4-1). « Je rentre à la 70e et je marque mon premier but en pro (76e), se souvient d’emblée l’ancienne pépite de Savigny-sur-Orge. Ce but a changé le cours de mon histoire. C’est fou, mais derrière ça, plein de clubs de Ligue 2 m’ont contacté. »
Et c’est à Caen, en Ligue 2, qu’il se posa six mois plus tard. Non sans avoir emmené quelques souvenirs. « Parce qu’au HAC, à la Cavée, c’était top ! Même si on en a vraiment chié au centre avec Jean-Marc Nobilo. Jamais un autre entraîneur ne m’a autant fait bosser. Mais il y avait une atmosphère exceptionnelle. C’est pour ça que le HAC restera toujours à part. Et quand je vois aujourd’hui le club en L1, en sachant le peu de moyens dont il dispose, je dis chapeau ! Ça travaille vraiment bien. Et puis je suis très heureux de la réussite de Mathieu (Bodmer), avec lequel j’ai eu la chance de jouer à Caen. C’est vraiment un super mec. »
« Au bout de trois semaines, je voulais partir »
Un transfert estimé à 2 M€, un contrat de quatre ans et les portes de la L1 qui s’ouvrent à lui. L’été 2005 aurait pu être un tremplin. Au sortir d’une saison à treize réalisations avec le SM Caen, en L1, Sébastien Mazure est pris dans les filets de l’AS Saint-Étienne. Des Verts déjà riches en attaquants, en noms ronflants : Frédéric Piquionne, Helder Postiga ou encore Bafétimbi Gomis.
« Je ne sais toujours pas pourquoi on m’a fait venir. L’entraîneur (Élie Baup) ne comptait pas sur moi. Je l’ai très vite compris. Au bout de trois semaines, j’ai même demandé à partir. J’ai remis ça en janvier, mais de peur que je brille ailleurs, le club ne souhaitait pas me transférer en L1. En fin de saison, il y a eu un changement d’entraîneur (Ivan Hasek), il voulait alors me garder. Mais quelque chose s’était cassé. »
Dix mois après son arrivée dans le Forez, il dut ainsi revenir à la case départ. « Comme le club ne voulait toujours pas me voir partir en L1, je n’ai pas eu d’autres choix que de revenir à Caen. Mais je n’ai pas de rancœur. Et puis j’ai touché un peu à l’Europe, via l’Intertoto. J’ai d’ailleurs marqué. Maintenant, avoir joué, ne serait-ce qu’un peu (NDLR : 20 apparitions, 7 titularisations), devant ce public, au cœur de cette ferveur, pour l’un des deux ou trois clubs les plus populaires du pays, ça laisse quand même une petite trace. »
« Je n’ai pas du tout l’intention de faire carrière »
Havrais, Caennais, Stéphanois… Et maintenant ? Car voilà déjà seize ans que Sébastien Mazure a raccroché. Il n’avait alors que 30 ans. « C’est tôt, je sais, mais j’avais trop de pépins physiques, de soucis de santé. Je ne pouvais plus m’entraîner 300 jours par an. Aucun entraîneur n’aurait d’ailleurs voulu de moi. Et même si l’un d’entre eux avait tenté de me convaincre, j’aurais dit non. Je ne voulais pas tricher. Je n’ai donc pas l’impression d’avoir fait une carrière exceptionnelle, mais au moins, j’ai donné le maximum. »
Récemment, c’est sur le banc du Bayeux FC (R1) qu’il fut possible de le localiser. En duo qu’il était avec Yann Fournier depuis deux saisons. « On a arrêté notre collaboration avec Bayeux. Pour l’instant, je n’ai pas trouvé de nouveau projet, mais j’avoue que je n’ai pas trop cherché non plus. Je vais sans doute prendre une année sabbatique pour me consacrer à mes enfants. »
De Courseulles-sur-Mer à Bayeux, en passant par le FC Baie de l’Orne, l’ancien avant-centre s’est donc reconverti en éducateur, en entraîneur, « avec l’idée de rendre au football amateur ce qu’il m’avait apporté étant jeune ». Et après ? Son expérience de technicien l’entraînera-t-elle un jour vers le haut niveau ? « Non, non. Je n’ai pas du tout l’intention de faire carrière. »
En bref… Né le 20 mars 1979, à Paris Débuts à Savigny-sur-Orge (91) 1998-2000 : HAC (B) 2000-2001 : HAC, 14 matches (L2) 2001-2005 : SM Caen, 94 matches (dont 32 en L1), 36 buts (dont 13 en L1) 2005-2006 : Saint-Étienne, 20 matches (L1), 1 but 2006-2008 : SM Caen, 30 matches (dont 10 en L1), 4 buts
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
Un joueur, deux maillots. Zoom sur les « ex » du HAC et de ses futurs adversaires. Avant l’étape à Saint-Étienne, samedi 25 août 2024 (21 h), nous avons retrouvé Sébastien Mazure, formé à la Cavée Verte, révélé en ciel et marine. Un attaquant dont la carrière a fait escale dans le Forez.
Formé et révélé au HAC, Sébastien Mazure a effectué une courte escale à Saint-Etienne, là où sont attendus samedi les Ciel et Marine
Dédiée aux anciens acteurs du Havre AC vus sous les couleurs des prochains adversaires du club doyen, cette rubrique s’ouvre avec Sébastien Mazure (45 ans), ex-pensionnaire de la Cavée Verte, lancé sur la scène professionnelle un soir de septembre 2000, dans l’antre du Stade Malherbe de Caen. Malherbe, où il fit par la suite l’essentiel de sa carrière (2001-2005, 2006-2009), non sans avoir effectué un crochet par Saint-Étienne, saison 2005-2006, en Ligue 1.
« Ce but a changé le cours de mon histoire »
C’est Joël Beaujouan, l’entraîneur avec lequel il entra au palmarès de feu le championnat de France des réserves (2000), qui lui a offert une première plongée avec les pros, le 9 septembre 2000, à Caen. La première de ses seize apparitions avec le HAC (Coupes et L2), dont l’une restera à jamais gravée. Nous sommes le 6 janvier 2001, Jean-François Domergue vient alors de prendre le relais de Beaujouan sur le banc. Et pour les débuts du champion d’Europe 1984 se profile un choc avec l’OM (L1), à Deschaseaux, pour le compte du 2e tour de la Coupe de la Ligue. Duel remporté par les Ciel et Marine (4-1). « Je rentre à la 70e et je marque mon premier but en pro (76e), se souvient d’emblée l’ancienne pépite de Savigny-sur-Orge. Ce but a changé le cours de mon histoire. C’est fou, mais derrière ça, plein de clubs de Ligue 2 m’ont contacté. »
Et c’est à Caen, en Ligue 2, qu’il se posa six mois plus tard. Non sans avoir emmené quelques souvenirs. « Parce qu’au HAC, à la Cavée, c’était top ! Même si on en a vraiment chié au centre avec Jean-Marc Nobilo. Jamais un autre entraîneur ne m’a autant fait bosser. Mais il y avait une atmosphère exceptionnelle. C’est pour ça que le HAC restera toujours à part. Et quand je vois aujourd’hui le club en L1, en sachant le peu de moyens dont il dispose, je dis chapeau ! Ça travaille vraiment bien. Et puis je suis très heureux de la réussite de Mathieu (Bodmer), avec lequel j’ai eu la chance de jouer à Caen. C’est vraiment un super mec. »
« Au bout de trois semaines, je voulais partir »
Un transfert estimé à 2 M€, un contrat de quatre ans et les portes de la L1 qui s’ouvrent à lui. L’été 2005 aurait pu être un tremplin. Au sortir d’une saison à treize réalisations avec le SM Caen, en L1, Sébastien Mazure est pris dans les filets de l’AS Saint-Étienne. Des Verts déjà riches en attaquants, en noms ronflants : Frédéric Piquionne, Helder Postiga ou encore Bafétimbi Gomis.
« Je ne sais toujours pas pourquoi on m’a fait venir. L’entraîneur (Élie Baup) ne comptait pas sur moi. Je l’ai très vite compris. Au bout de trois semaines, j’ai même demandé à partir. J’ai remis ça en janvier, mais de peur que je brille ailleurs, le club ne souhaitait pas me transférer en L1. En fin de saison, il y a eu un changement d’entraîneur (Ivan Hasek), il voulait alors me garder. Mais quelque chose s’était cassé. »
Dix mois après son arrivée dans le Forez, il dut ainsi revenir à la case départ. « Comme le club ne voulait toujours pas me voir partir en L1, je n’ai pas eu d’autres choix que de revenir à Caen. Mais je n’ai pas de rancœur. Et puis j’ai touché un peu à l’Europe, via l’Intertoto. J’ai d’ailleurs marqué. Maintenant, avoir joué, ne serait-ce qu’un peu (NDLR : 20 apparitions, 7 titularisations), devant ce public, au cœur de cette ferveur, pour l’un des deux ou trois clubs les plus populaires du pays, ça laisse quand même une petite trace. »
« Je n’ai pas du tout l’intention de faire carrière »
Havrais, Caennais, Stéphanois… Et maintenant ? Car voilà déjà seize ans que Sébastien Mazure a raccroché. Il n’avait alors que 30 ans. « C’est tôt, je sais, mais j’avais trop de pépins physiques, de soucis de santé. Je ne pouvais plus m’entraîner 300 jours par an. Aucun entraîneur n’aurait d’ailleurs voulu de moi. Et même si l’un d’entre eux avait tenté de me convaincre, j’aurais dit non. Je ne voulais pas tricher. Je n’ai donc pas l’impression d’avoir fait une carrière exceptionnelle, mais au moins, j’ai donné le maximum. »
Récemment, c’est sur le banc du Bayeux FC (R1) qu’il fut possible de le localiser. En duo qu’il était avec Yann Fournier depuis deux saisons. « On a arrêté notre collaboration avec Bayeux. Pour l’instant, je n’ai pas trouvé de nouveau projet, mais j’avoue que je n’ai pas trop cherché non plus. Je vais sans doute prendre une année sabbatique pour me consacrer à mes enfants. »
De Courseulles-sur-Mer à Bayeux, en passant par le FC Baie de l’Orne, l’ancien avant-centre s’est donc reconverti en éducateur, en entraîneur, « avec l’idée de rendre au football amateur ce qu’il m’avait apporté étant jeune ». Et après ? Son expérience de technicien l’entraînera-t-elle un jour vers le haut niveau ? « Non, non. Je n’ai pas du tout l’intention de faire carrière. »
En bref… Né le 20 mars 1979, à Paris Débuts à Savigny-sur-Orge (91) 1998-2000 : HAC (B) 2000-2001 : HAC, 14 matches (L2) 2001-2005 : SM Caen, 94 matches (dont 32 en L1), 36 buts (dont 13 en L1) 2005-2006 : Saint-Étienne, 20 matches (L1), 1 but 2006-2008 : SM Caen, 30 matches (dont 10 en L1), 4 buts
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Dans l'article sur Michel Courel, il est écrit que Constance Picaud était passé du PSG au FC Fleury
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Ouverture du score de Boutaib en faveur de Pau face au Smc 