Dimanche 17 septembre 2023
Excelsior : 0 – 0 : Almere city
1 ère participation de Yann Kitala rentré à la 79’ minute, noté 6.1
[ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Je suis souverain en mon royaume
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Comment peut-on noter un joueur qui ne joue que 10 mn ?
Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort nous nous vîmes 25000 en arrivant au stade
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Même si il n'a joué que 15mn , tu peux quand même noter sa prestation , si courte soit elle.
"Il faut une grande maturité pour comprendre que l'opinion que nous défendons n'est que notre hypothèse préférée ,imparfaite ,transitoire ,que seuls les très bornés peuvent faire passer pour une certitude ou une vérité."" Milan Kundera.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Ce n'est tout de même pas très représentatif, généralement seuls les joueurs titulaires sont notés.
Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort nous nous vîmes 25000 en arrivant au stade
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Pat Garande
- Division régionale
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- Enregistré le : 01 sept. 2021 00:08
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Il s'agit de la note du site flashscore je suppose. Tous les joueurs ont la note de 6 par défaut, ajustée à la hausse ou à la baisse en fonction des actions réalisées par le joueur pendant le temps qu'il a passé sur le terrain. Effectivement, un remplaçant qui n'a pas eu le temps de faire quoi que ce soit de remarquable finit souvent avec une note très proche de 6.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Football - Ligue 2 : Alexis Baudet, des Municipaux du Havre au Paris FC
Ancien éducateur aux Municipaux, devenu par la suite formateur au Havre AC, Alexis Baudet a rejoint cet été le staff du Paris FC en Ligue 2. À 35 ans, voici ce fan de Guardiola, travailleur acharné, désormais plongé dans l’univers du foot professionnel.
Malgré un début de saison délicat en Ligue 2 (15e avec 2 victoires et4 défaites), Alexis Baudet s’épanouit dans son nouveau rôle d’entraîneur adjoint au Paris FC
Le 26 août dernier, Jean-Michel Naze n’avait pas manqué de saisir son téléphone pour envoyer un petit message à Alexis Baudet. « Je tenais à le féliciter pour sa première victoire en Ligue 2 (3-0 contre Concarneau), car j’imagine que les débuts n’avaient pas été évidents avec ces trois défaites d’entrée », raconte le président des Municipaux du Havre. « Les résultats sont ce qu’ils sont, mais je vis néanmoins une expérience extraordinaire, au sein d’un club très humain et auprès d’un groupe extrêmement travailleur », confie depuis la capitale Alexis Baudet, dont le Paris FC pointe à la 15e place après 6 journées (2V, 4D).
À 35 ans, le natif de Clermont-Ferrand, arrivé dans le quartier de Caucriauville à l’adolescence (la majeure partie de sa famille est originaire du Havre), a intégré à l’intersaison le staff de Stéphane Gilli, successeur de Thierry Laurey sur le banc du dernier 7e de Ligue 2. « Pour avoir lui-même été longtemps adjoint (dont dix-sept ans aux côtés de Mécha Bazdarevic), Stéphane accorde un large champ d’action aux membres de son staff », apprécie celui qui est à la fois impliqué dans le contenu des séances, l’analyse des adversaires, comme la gestion des phases de jeu défensives.
Une rencontre déterminante
C’est en passant son diplôme « spécifique défenseur » que cet ancien latéral droit, vu notamment il y a quinze ans en CFA 2 sous les couleurs de Gonfreville-l’Orcher, avait fait la saison dernière une rencontre qui allait bouleverser sa carrière d’entraîneur. Dans sa promotion se trouvait en effet l’expérimenté Armand Sène (58 ans), adjoint de Thierry Laurey resté celui de Stéphane Gilli durant l’été. « Lorsque Stéphane lui a fait part de son souhait de trouver un jeune adjoint aux compétences diverses, Armand a pensé à moi. Il nous a mis en relation et le feeling est très bien passé. »
Après cinq saisons au HAC (2018-2023), où Alexis Baudet officiait à la fois à la préformation (coach des U13, des U14 puis des U15) et en tant qu’adjoint de l’équipe réserve en N3, qui elles-mêmes avaient fait suite à huit années aux Municipaux (2010-2018), où il s’était occupé d’à peu près toutes les catégories pour en finir directeur technique, le jeune technicien n’a « pas hésité » à l’heure de plonger dans le grand bain du foot professionnel. Qu’il aurait également pu découvrir… aux côtés de Luka Elsner au sein du club doyen.
« Le HAC était mon premier choix »
« Dès les premiers contacts avec le PFC, j’ai averti François (Rodrigues, directeur de la formation havraise) et Mathieu (Bodmer, directeur sportif). Luka cherchait au même moment un adjoint pour remplacer Romain Héquet (non conservé et parti à Angers). Nous avons échangé tous les deux. Le HAC était évidemment mon premier choix. »
Le technicien slovène a finalement choisi Thomas Ehrhard (ex-Reims) et Alexis Baudet s’en est donc allé vers la capitale. Une étape de plus dans le parcours de ce passionné nourri aux ouvrages et reportages sur les grands techniciens modernes (Guardiola, Klopp, Nagelsmann…), qui envoya à 20 ans CV et lettre de motivation à plusieurs clubs de l’agglomération havraise en quête de formations diplomantes après s’être occupé des U7 de Fontaine-la-Mallet. « Les Municipaux avaient été les premiers à me répondre, se souvient-il, conscient du chemin parcouru depuis. J’ai une chance inouïe. »
Une nouvelle vie sur un fil
Enormément de mérite, avant tout. « Ce qui est sûr, c’est que je n’ai jamais compté mes heures et que j’ai toujours cherché à me remettre en question. Quand on s’en donne les moyens, on se rend compte que le foot professionnel n’est finalement pas aussi fermé et inaccessible qu’on peut le croire. »
Celui-ci demeure néanmoins sans pitié. En troquant le CDI dont il bénéficiait au HAC pour un CDD au PFC (2 ans + 1 en cas de montée en L1), Alexis Baudet sait que tout peut désormais s’arrêter du jour au lendemain. « L’adrénaline, c’est ce qu’on recherche lorsqu’on veut vraiment être entraîneur », vibre celui qui se rêve forcément un jour en tant que numéro un.
Un élève « rigoureux » et « fidèle »
L’un fut à l’origine de son arrivée aux Municipaux en 2010, l’autre au Havre AC huit ans plus tard. Tuteurs d’Alexis Baudet dans le cadre de son BMF (Brevet de moniteur de football), puis de son BEF (Brevet d’entraîneur de football), Malik Bahri et Michaël Bunel (notre photo) gardent le souvenir d’un jeune technicien « rigoureux » et « passionné ». « Il apprenait très vite et a notamment rapidement compris que le rôle d’un éducateur ne se résumait pas à faire appliquer des consignes à ses joueurs, mais qu’il fallait les pousser à réfléchir au pourquoi on leur demandait ça afin de les faire progresser et les emmener avec lui », se rappelle son ancien mentor aux Municipaux. « Il avait un très bon relationnel avec ses jeunes, avec un discours clair, honnête, sans tourner autour du pot », ajoute le responsable de la préformation ciel et marine, issu du monde amateur lui aussi (Gruchet-le-Valasse).
Au-delà des terrains, les deux hommes soulignent « l’humilité » et « la fidélité » de leur ancien protégé. « Je dis souvent que le football n’a pas beaucoup de mémoire, cela ne vaut pas pour Alexis, qui n’a jamais oublié d’où il vient », témoigne Malik Bahri qui, quinze ans après leur rencontre, continue de revoir « tous les deux mois environ » l’actuel adjoint du PFC pour parler foot et se remémorer les souvenirs du passé.
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
Ancien éducateur aux Municipaux, devenu par la suite formateur au Havre AC, Alexis Baudet a rejoint cet été le staff du Paris FC en Ligue 2. À 35 ans, voici ce fan de Guardiola, travailleur acharné, désormais plongé dans l’univers du foot professionnel.
Malgré un début de saison délicat en Ligue 2 (15e avec 2 victoires et4 défaites), Alexis Baudet s’épanouit dans son nouveau rôle d’entraîneur adjoint au Paris FC
Le 26 août dernier, Jean-Michel Naze n’avait pas manqué de saisir son téléphone pour envoyer un petit message à Alexis Baudet. « Je tenais à le féliciter pour sa première victoire en Ligue 2 (3-0 contre Concarneau), car j’imagine que les débuts n’avaient pas été évidents avec ces trois défaites d’entrée », raconte le président des Municipaux du Havre. « Les résultats sont ce qu’ils sont, mais je vis néanmoins une expérience extraordinaire, au sein d’un club très humain et auprès d’un groupe extrêmement travailleur », confie depuis la capitale Alexis Baudet, dont le Paris FC pointe à la 15e place après 6 journées (2V, 4D).
À 35 ans, le natif de Clermont-Ferrand, arrivé dans le quartier de Caucriauville à l’adolescence (la majeure partie de sa famille est originaire du Havre), a intégré à l’intersaison le staff de Stéphane Gilli, successeur de Thierry Laurey sur le banc du dernier 7e de Ligue 2. « Pour avoir lui-même été longtemps adjoint (dont dix-sept ans aux côtés de Mécha Bazdarevic), Stéphane accorde un large champ d’action aux membres de son staff », apprécie celui qui est à la fois impliqué dans le contenu des séances, l’analyse des adversaires, comme la gestion des phases de jeu défensives.
Une rencontre déterminante
C’est en passant son diplôme « spécifique défenseur » que cet ancien latéral droit, vu notamment il y a quinze ans en CFA 2 sous les couleurs de Gonfreville-l’Orcher, avait fait la saison dernière une rencontre qui allait bouleverser sa carrière d’entraîneur. Dans sa promotion se trouvait en effet l’expérimenté Armand Sène (58 ans), adjoint de Thierry Laurey resté celui de Stéphane Gilli durant l’été. « Lorsque Stéphane lui a fait part de son souhait de trouver un jeune adjoint aux compétences diverses, Armand a pensé à moi. Il nous a mis en relation et le feeling est très bien passé. »
Après cinq saisons au HAC (2018-2023), où Alexis Baudet officiait à la fois à la préformation (coach des U13, des U14 puis des U15) et en tant qu’adjoint de l’équipe réserve en N3, qui elles-mêmes avaient fait suite à huit années aux Municipaux (2010-2018), où il s’était occupé d’à peu près toutes les catégories pour en finir directeur technique, le jeune technicien n’a « pas hésité » à l’heure de plonger dans le grand bain du foot professionnel. Qu’il aurait également pu découvrir… aux côtés de Luka Elsner au sein du club doyen.
« Le HAC était mon premier choix »
« Dès les premiers contacts avec le PFC, j’ai averti François (Rodrigues, directeur de la formation havraise) et Mathieu (Bodmer, directeur sportif). Luka cherchait au même moment un adjoint pour remplacer Romain Héquet (non conservé et parti à Angers). Nous avons échangé tous les deux. Le HAC était évidemment mon premier choix. »
Le technicien slovène a finalement choisi Thomas Ehrhard (ex-Reims) et Alexis Baudet s’en est donc allé vers la capitale. Une étape de plus dans le parcours de ce passionné nourri aux ouvrages et reportages sur les grands techniciens modernes (Guardiola, Klopp, Nagelsmann…), qui envoya à 20 ans CV et lettre de motivation à plusieurs clubs de l’agglomération havraise en quête de formations diplomantes après s’être occupé des U7 de Fontaine-la-Mallet. « Les Municipaux avaient été les premiers à me répondre, se souvient-il, conscient du chemin parcouru depuis. J’ai une chance inouïe. »
Une nouvelle vie sur un fil
Enormément de mérite, avant tout. « Ce qui est sûr, c’est que je n’ai jamais compté mes heures et que j’ai toujours cherché à me remettre en question. Quand on s’en donne les moyens, on se rend compte que le foot professionnel n’est finalement pas aussi fermé et inaccessible qu’on peut le croire. »
Celui-ci demeure néanmoins sans pitié. En troquant le CDI dont il bénéficiait au HAC pour un CDD au PFC (2 ans + 1 en cas de montée en L1), Alexis Baudet sait que tout peut désormais s’arrêter du jour au lendemain. « L’adrénaline, c’est ce qu’on recherche lorsqu’on veut vraiment être entraîneur », vibre celui qui se rêve forcément un jour en tant que numéro un.
Un élève « rigoureux » et « fidèle »
L’un fut à l’origine de son arrivée aux Municipaux en 2010, l’autre au Havre AC huit ans plus tard. Tuteurs d’Alexis Baudet dans le cadre de son BMF (Brevet de moniteur de football), puis de son BEF (Brevet d’entraîneur de football), Malik Bahri et Michaël Bunel (notre photo) gardent le souvenir d’un jeune technicien « rigoureux » et « passionné ». « Il apprenait très vite et a notamment rapidement compris que le rôle d’un éducateur ne se résumait pas à faire appliquer des consignes à ses joueurs, mais qu’il fallait les pousser à réfléchir au pourquoi on leur demandait ça afin de les faire progresser et les emmener avec lui », se rappelle son ancien mentor aux Municipaux. « Il avait un très bon relationnel avec ses jeunes, avec un discours clair, honnête, sans tourner autour du pot », ajoute le responsable de la préformation ciel et marine, issu du monde amateur lui aussi (Gruchet-le-Valasse).
Au-delà des terrains, les deux hommes soulignent « l’humilité » et « la fidélité » de leur ancien protégé. « Je dis souvent que le football n’a pas beaucoup de mémoire, cela ne vaut pas pour Alexis, qui n’a jamais oublié d’où il vient », témoigne Malik Bahri qui, quinze ans après leur rencontre, continue de revoir « tous les deux mois environ » l’actuel adjoint du PFC pour parler foot et se remémorer les souvenirs du passé.
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Abline marque pour Nantes
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Ibnou Ba et Chadli titulaire avec Concarneau face à St-Etienne ce soir sur l'équipe 21 à 19h
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Superbe interview d'Oswald Tanchot il y parle des points en commun entre le HAC et le FCSM, de cet été chaotique et du N1 qui mériterait d'être mieux traité exemple de l'absurdité on a le droit à 5 changements mais seulement 5 remplaçants sur le banc du coup jusqu'au dernier match il ne prenait pas de 2 ème gardien 
. Au vu des derniers matchs le jeu est très séduisant mais on manque de réalisme devant le but et on a tjs des soucis sur CPA défensifs et quelques erreurs individuelles mais après quelques réglages je pense que l'on devrait réussir à ce maintenir sans trop de soucis (il y a 6 descentes en national cette saison). Malgré une mauvaise préparation, l'enchaînement des matchs, sans pause internationale et trajet en bus ou train les joueurs m'impressionnent dans leur capacité à tenir les matchs avec un bon niveau d'intensité. Une superbe direction, un staff au top, des joueurs qui se donnent à fond quelle joie de voir ce club se reconstruire !
https://www.sofoot.com/articles/oswald- ... metais-mis
. Au vu des derniers matchs le jeu est très séduisant mais on manque de réalisme devant le but et on a tjs des soucis sur CPA défensifs et quelques erreurs individuelles mais après quelques réglages je pense que l'on devrait réussir à ce maintenir sans trop de soucis (il y a 6 descentes en national cette saison). Malgré une mauvaise préparation, l'enchaînement des matchs, sans pause internationale et trajet en bus ou train les joueurs m'impressionnent dans leur capacité à tenir les matchs avec un bon niveau d'intensité. Une superbe direction, un staff au top, des joueurs qui se donnent à fond quelle joie de voir ce club se reconstruire ! https://www.sofoot.com/articles/oswald- ... metais-mis
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Beau but de la tête de Papé ibnou ba
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Nassim Chadli qui met un doublé dont un but sublime apres un corner
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Doublé de Chadli également, deuxième but magnifique
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Doublé de pape ibnou ba, 4 buts des havrais prêtés ce soir pour Concarneau, pas mal !!
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Merineferet
- Ligue des Champions
- Messages : 5438
- Enregistré le : 04 mai 2021 21:50
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Concarnhavre athletic club
"Ils arboraient une fière et belle tunique, où le bleu magnifique de la mer immense se mêlait, dans une danse superbe, avec celui, non moins élégant, du ciel vaste et infini".
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Rupture des ligaments croisés du genou pour notre ex capitaine Alexandre bonnet.
Saison finie.
Et la carrière.......
Saison finie.
Et la carrière.......
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Bon courage à Alexandre Bonnet. Un joueur qui passe autant d'années dans un même club c'est très rare. J'espère que sa carrière ne s'arrêtera pas là ce serait injuste...