[ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Ce n'est pas tant sur son passé de meilleur buteur olympien contre le PSG que pour avoir un peu de ses nouvelles qu'il serait sympa de partager l'article pour ceux qui en ont la possibilité. Merci.
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Dégoûter qu' il soit parti à Nantes.... il a bien le niveau au dessus de Nantes.
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Il avait déjà joué le match précédent.
Mais le raisonnement tient toujours.
Il débute en fanfare. Le travail.
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Après un weekend où on voit pantaloni encore entraîner en L1, des nouvelles de Yacouba Coulibaly et Denys Bain. Je poste dans le forum "anciens hacmen", mais j'ai pas trouvé le forum "troudu* ça continue".
A nouveau on demande à des joueurs de reprendre un match dans ces conditions. Le ballon d'or, RAB
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
On a retrouvé le meilleur buteur de l'OM face au PSG, le héros méconnu du Classique qui ne laisse ni adresse ni numéro de téléphone
Avant le 110e Classique, nous sommes allés à la rencontre d'Hervé Florès, le méconnu meilleur buteur marseillais contre le PSG. Une quête délicate.
Qui est le meilleur buteur de l'OM face au PSG ? À première vue, la devinette se range dans la catégorie facile, mais, même auprès de fidèles de différentes générations, elle s'avère être une colle. Jean-Pierre Papin (trois buts) ? Non. Mamadou Niang (trois), Florian Thauvin (trois), Didier Drogba (un) ou encore Dimitri Payet (un) ? Non plus.
Coupons court : il s'agit d'Hervé Florès, auteur de cinq réalisations au milieu des années 1970, une de plus qu'André-Pierre Gignac et André Ayew. Près de cinquante ans plus tard, de façon improbable, la statistique tient toujours et met en lumière un personnage méconnu de l'histoire du club. Et à la destinée un peu chaotique ces dernières années.
« Si vous tenez vraiment à le rencontrer, vous n'avez qu'à venir »
Remonter sa trace n'a pas été chose aisée. Unique indice en notre possession : l'intéressé est revenu vivre dans sa ville natale de Miramas, à une petite heure de Marseille. Aucune existence numérique ni contact dans l'annuaire. Avant nous, sur les réseaux sociaux, d'anciennes connaissances cherchaient tant bien que mal à avoir des nouvelles. Le club local n'a pas pu nous renseigner davantage et la ville n'a même pas de numéro dans ses registres.
Avec cette précision : « Vous savez, M. Florès n'est pas très en forme. Si vous tenez vraiment à le rencontrer, vous n'avez qu'à venir et vous tomberez sur lui dans un bar ou dans la rue... » Le lien se fera finalement via sa mère et la ligne de fixe du domicile familial partagé, grâce à un confrère de La Provence, auteur des mêmes mises en garde sur son état de santé. Il faudra tout de même plusieurs jours et autant de coups de fil dans le vide avant d'établir une liaison directe, la maman-médiatrice étant « désolée » de décrocher en l'absence de son fils de 69 ans. « Ce n'est plus un bébé, je ne vais pas lui mettre une rouste... »
La voix rauque et saccadée de Florès a fini par résonner au bout du combiné et un rendez-vous a été fixé au jeudi suivant, à 13 h 30, « au Bar Magic, avec les copains du foot ». Sans accepter de laisser un numéro de portable ni d'adresse, en cas d'imprévu. Il n'y en a pas eu et il était bien présent, installé seul à la table devant l'entrée du troquet, où il passe ses matinées, parfois ses midis. Verre vide, regard perdu, il reproche un retard inexistant et s'accroche pour changer de table, à l'ombre.
Chemise grise recouverte d'un gilet bleu foncé, les traits du visage rongés par les excès, le regard dur et la barbe rasée, « pour une fois », chambrent ses voisins de comptoir, « Flo » peine à enchaîner les phrases, toussote et gémit. Il évoque son enfance « extra, à 300 mètres d'ici », la découverte du foot au club de Miramas, où son père était dirigeant, « le terrain stabilisé en pupilles et les terribles déplacements à Saint-Chamand », un quartier d'Avignon.
Puis il veut « tout arrêter » après cinq minutes, parle de « questions à la con », ne veut plus être pris en photo après avoir lui-même pris la pose de profil. Il revient siroter son pastis. L'occasion d'aborder son arrivée à Marseille en 1972, au sein de l'AS Mazargues, club formateur de Michel Der Zakarian et Michel N'Gom. Florès : « C'était le plus grand club amateur du coin. En juniors, on avait entraînement toute la semaine, comme des pros. Et le Vélodrome était à une borne, même pas. »
Un doublé pour son premier Classique, à 19 ans
Artisan de la montée en D3 en 1975, le Miramasséen persuade l'OM de doubler Saint-Étienne. Le début d'une belle histoire et le saut dans le grand monde, au milieu des Marius Trésor, Héctor Yazalde et sous la houlette de Jules Zvunka. « Magnifique. Des grands messieurs. »
Partenaire d'alors, Raoul Noguès se souvient d'un bonhomme « discret et agréable » et d'un joueur « fin, pas très rapide mais très juste, qui jouait la tête haute et se déplaçait élégamment ». Dès sa première saison, l'ailier ou meneur profite de blessures pour démarrer le choc retour face à Paris, le 22 février 1976, au Vélodrome.
Résultat : un doublé (66e et 79e) plus que décisif (2-1), du haut de ses 19 ans. Deux buts dont il ne se souvient plus et qu'il aimerait revoir. Ils ont en tout cas forgé sa légende oubliée, à une période où les affluences étaient moindres et la rivalité balbutiante.
Le troisième et le quatrième buts ont suivi en 1977, un au Parc (1-1, le 16 avril) et un au Vélodrome (2-1, le 30 août), le dernier intervenant en 1978 (4-1, le 30 septembre), de nouveau à domicile. Cinq réalisations en sept confrontations et 37, au total, en 156 matches avec l'OM entre 1975 et 1981. « C'est possible, mais vous me demandez des souvenirs de plus de quarante ans », s'agace le buteur, avant de requitter la table.
Il partira une, deux, trois, quatre fois. « Je me croirais au commissariat. » Et reviendra. La mémoire aussi. « La première fois que je suis entré au Vélodrome, cela m'a fait drôle, se lâche-t-il. On montait les marches, à l'époque, et on voyait les tribunes, Jean-Bouin, Ganay... Wow ! Cela donnait des frissons. Mais, une fois sur le terrain, il fallait bombarder. Quand on est attaquant, on veut enfiler les buts. Le record contre Paris, cela fait plaisir, bien sûr, mais cela aurait été la même chose pour moi contre Liverpool, Lyon ou Monaco. »
Un de ses grands regrets est de ne pas avoir été convoqué par Michel Hidalgo à la Coupe du monde 1978, malgré une présélection. « René Charrier, gardien de l'OM et des Bleus, m'appelle la veille de l'annonce et me dit : "La Fleur, tu ne pars pas en Argentine." Platini a préféré monsieur Rouyer qui jouait à Nancy avec lui. Je l'ai appris des années plus tard. Je ne l'invente pas, on me l'a dit », assure Florès, international jusqu'en Espoirs.
Après Marseille, il a bourlingué entre la D1 et la D2 une dizaine d'années, à Angoulême, au Havre, à Reims, à Caen, à Bourges et à Perpignan, en marquant un peu partout. Il a ensuite déniché une reconversion pendant deux ans dans les assurances, grâce à un socio marseillais, et dit ne plus faire grand-chose depuis son retour « aux sources ».
« Si j'étais arbitre, il y aurait une loi pour interdire les passes latérales »
Hervé Florès
Le foot ne fait plus partie de sa vie. Il a sa carte d'ancien pour aller au Vélodrome mais il n'y est jamais retourné. « Quand je vais à Marseille, on mange une bouillabaisse, on fait une partie de cartes... Pourquoi on se ferait chier à aller au stade ? Les matches sont tellement nuls. Si j'étais arbitre, il y aurait une loi pour interdire les passes latérales. »
Il ne s'épanche pas, en revanche, sur ses tracas actuels. D'anciens coéquipiers et sa famille auraient tenté de l'aider, sans grande réussite, explique un habitué des lieux. Pendant ce temps, l'insaisissable Florès a pris la poudre d'escampette, définitivement cette fois. Emportant ses secrets, et son record pour quelque temps encore.
Simon Bolle à Miramas (Bouche-du-Rhône)
publié le 20 septembre 2025 à 17h32
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Sans club depuis la fin de son contrat au Havre AC, le milieu de terrain russe Daler Kuziaev a officiellement trouvé un nouveau point de chute ce mercredi 24 septembre 2025.
Comme d’autres de ses anciens partenaires au HAC (Fodé Ballo-Touré, qui s’est récemment engagé avec Metz, Yann Kitala, nouveau joueur du FC Vizela au Portugal, ou encore Arthur Desmas et Mathieu Gorgelin, toujours sans club), le Russe Daler Kuziaev aura mis un certain temps pour trouver un nouveau challenge.
C’est désormais chose faite puisque le club russe du Rubin Kazan a officiellement annoncé ce mercredi 24 septembre 2025 la signature du milieu de terrain international de 32 ans. Un retour au pays pour celui qui avait fait l’essentiel de sa carrière au Zénith Saint-Pétersbourg (2017-2023) avant de s’engager avec le Havre AC. Kuziaev s’est engagé jusqu’en 2026 avec l’actuel 7e de Premier Liga russe (après 9 journées), son classement final la saison passée.
Pour rappel, le milieu aux 51 sélections avait disputé un total de 46 rencontres en deux saisons sous les couleurs du club doyen, inscrivant quatre buts et délivrant deux passes décisives.
Par la rédaction Paris Normandie
Publié:
24 Septembre 2025 à 16h20
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Soyons rassurés; bientôt les russes débarqueront bientôt avec d'autres préoccupations que le ballon rond....

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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
https://hacmen.fr/arthur-desmas-rejoint-le-qatar/
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Le challenge sportif....cieletmarine1872 a écrit : ↑29 sept. 2025 21:45 Arthur Desmas a signé au Qatar. Blessure dès le premier match le soir même !
https://hacmen.fr/arthur-desmas-rejoint-le-qatar/
Sur le fond, il a raison, la fin de carrière approche....

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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Pour le coup, le challenge sportif est pas forcément catastrophique étant donné le onze aligné hier par sa nouvelle équipe. Plusieurs bons joueurs européens !Momo-k a écrit : ↑30 sept. 2025 10:58Le challenge sportif....cieletmarine1872 a écrit : ↑29 sept. 2025 21:45 Arthur Desmas a signé au Qatar. Blessure dès le premier match le soir même !
https://hacmen.fr/arthur-desmas-rejoint-le-qatar/
Sur le fond, il a raison, la fin de carrière approche....
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
En même temps les offres ne devaient pas se bousculer au portillon.Momo-k a écrit : ↑30 sept. 2025 10:58Le challenge sportif....cieletmarine1872 a écrit : ↑29 sept. 2025 21:45 Arthur Desmas a signé au Qatar. Blessure dès le premier match le soir même !
https://hacmen.fr/arthur-desmas-rejoint-le-qatar/
Sur le fond, il a raison, la fin de carrière approche....
Il aurait prétendu au mieux à un poste en L2, là il se retrouve à toucher un salaire Qatari, à jouer avec quelques très bons joueurs.
Je ne pense pas qu'il aurait eu d'autres challenges aussi intéressant.
Et comme tu dis, à 31 ans ce serait couillon de laisser passer une telle opportunité.
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Coup d’œil dans le rétro. Retrouvailles avec les hommes qui ont laissé une trace de leur passage au HAC, en Ligue 1 comme en Ligue 2. Ce vendredi 3 octobre 2025, c’est sur Benjamin Genton (45 ans) que se braquent les projecteurs.
Benjamin Genton a défendu les couleurs du HAC de 2010 à 2014.
Quatre saisons à l’US Créteil, six autres au FC Lorient, et les quatre dernières sous les couleurs du HAC. Un parcours long de 292 matches (dont 48 en Ligue 1) et empreint d’une passion qu’il vit désormais sur le banc. Celui de l’En Avant Guingamp, en qualité d’adjoint.
À peine aviez-vous décidé de raccrocher les crampons, en septembre 2014, que vous débutiez une carrière de technicien. Tout était donc déjà tracé ?
« Oui. Enfin, pas tout à fait. Je sortais d’une saison au cours de laquelle Erick Mombaerts ne m’avait quasiment pas fait jouer (3 apparitions, 11 minutes). Mais physiquement, je me sentais encore bien, il me restait un an de contrat au HAC et parallèlement, le Paris FC, qui ambitionnait de monter de National en Ligue 2, me proposait de signer. Je me disais que je pouvais encore rendre quelques services. »
Mais finalement, clap de fin…
« Pendant la préparation estivale (2014), toujours avec le HAC, Sylvain Ripoll, entraîneur de Lorient à l’époque, m’a sondé afin de savoir si ça m’intéresserait de devenir l’un de ses adjoints sur le banc des pros. J’ai hésité, j’ai eu pas mal de nuits perturbées. Mais je me disais qu’à 34 ans, cette occasion de basculer tout de suite sur un staff pro était une vraie chance. En septembre je rejoignais Lorient. »
« Même s’il m’a fait deux-trois coups pas très clairs, j’adorais échanger avec Erick Mombaerts »
Les pros, puis les jeunes, puis de nouveau les pros aujourd’hui ? S’il vous fallait faire un choix, ce serait lequel ?
« En fait, ce qu’il s’est passé, c’est qu’à l’arrivée de Mickaël Landreau comme entraîneur de Lorient (été 2017), on s’est tous fait dégager du staff pro. Régis Le Bris m’a alors proposé d’intégrer la formation (à Lorient, toujours). On avait convenu d’une période d’essai. Et finalement, ça a duré sept ans. J’ai tout fait, U17, U19 et réserve, adjoint ou entraîneur principal. Ça a été d’une très grande richesse pour moi. Et puis en 2024, nouvel appel de Sylvain Ripoll, nommé entraîneur de Guingamp. »
D’où vous est venue cette ferme ambition d’embrasser une carrière de technicien ?
« L’entraînement, la façon dont sont pensées, organisées les séances, ça m’a toujours intéressé. Même s’il ne me faisait pas beaucoup jouer au HAC, s’il m’a fait deux-trois coups pas très clairs, j’adorais échanger avec Erick Mombaerts. Il répondait à toutes mes questions. Parfois, après les entraînements, il m’invitait dans son bureau, on discutait durant de longues minutes, je prenais des notes. »
Du HAC, qu’en gardez-vous d’autre ?
« Beaucoup de bonheur, mais aussi beaucoup de frustration. Notamment sur la première année (2010-2011). Individuellement, je faisais ma plus belle saison, même si je me blesse à cinq, six matches de la fin. On avait vraiment une très belle équipe, on a longtemps cru à l’accession (2e à la 29e journée). Et puis on s’est écroulés dans la dernière ligne droite (14e à la 38e j.). La deuxième saison, je pense avoir fait des matches cohérents et ensuite, j’ai eu des pépins physiques, j’ai galéré à revenir. J’ai été moins performant, il faut être honnête. »
« J’étais petit et je me retrouvais avec Safet Susic, Zlatko Vujovic »
Cette deuxième saison a été chaude, la troisième aussi…
« Oui. La deuxième, on se sauve à l’avant-dernière journée. Et puis lors de la troisième, il y a ce matin, un dimanche, tôt, où les supporters nous attendaient à Saint-Laurent (NDLR : l’ancien centre d’entraînement du HAC). Il y avait une sacrée tension. Ça a même dégénéré. Franchement, j’ai été marqué par ça. D’un côté, c’est ce que je n’aime pas dans le foot, d’un autre côté, je sais que les supporters font beaucoup de sacrifices pour suivre leur club. Après, la question est de savoir où on met le curseur. Mais bon, je garde surtout le meilleur, cette bande de copains que nous étions, ce mélange culturel qu’il y avait. On prenait plaisir à tout partager, à jouer ensemble. »
Mais dites-nous, vous êtes toujours un peu joueur par procuration, non ? Le petit, prêté par Lorient, évolue actuellement au FC Rouen. D’ailleurs, sachant que son père a porté les couleurs du HAC, avait-il le droit de rejoindre les Diables Rouges ?
« (il rit) Mais, croyez-moi ou pas, j’y ai pensé ! Je me suis dit : « Oh putain, Le Havre, Rouen, j’ai joué au HAC, il y a des Havrais qui vont peut-être m’en vouloir. » Mais Enzo (19 ans) n’a pas à pâtir de ça. Il a une carrière à mener, sa propre histoire à écrire. »
Vous, votre fils, mais aussi votre frère Florian, journaliste à l’antenne de beIN Sports notamment lors des soirées de Ligue 2. Cette passion, qui vous l’a transmise ?
« Mon père. Il était capitaine des vétérans du PSG. Et ce qui était top, c’est qu’en tant que capitaine des vétérans, il était invité à l’arbre de Noël du PSG. On y allait en famille, évidemment. J’étais petit et je me retrouvais avec Safet Susic, Zlatko Vujovic, Philippe Jeannol. On collectionnait les autographes, les photos. C’était magique. J’aimais déjà passionnément le foot. »
En bref… En bref… Né le 20 mai 1980, à Paris Formé à l’US Créteil 2000-2004 : Créteil 2004-2010 : Lorient 2010-2014 : HAC
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.