margottin a écrit : ↑28 mai 2025 00:34
waterproof a écrit : ↑27 mai 2025 20:28
Pour moi le PSG sert les intérêts d'un état , le Qatar ( ne pas oublier les fameux qatari pappers, l'aide financière et logistique au terrorisme) dont les valeurs civilisationelles sont aux antipodes des miennes ( droit de l'homme, égalité hommes femmes, libre pensée, liberté de culte...)
Supporter le PSG revient pour moi à supporter le FC waffen SS à la fin des années 30....ni plus ni moins
On nage en plein délire…. Comparer le PSG avec des nazis, fallait oser!
Quand les manuels scolaires du Qatar approuvent l’attitude d’Hitler vis-à-vis des juifs !
Les élèves qataris apprennent que les juifs, en « manipulant les marchés économiques et en accumulant d’immenses richesses » ont ruiné l’Allemagne après la Première Guerre mondiale. Il était donc logique que le Führer leur fasse payer cher leur infâme trahison. Ou comment biberonner, de l’enfance à l’adolescence, dans l’antisémitisme.
Dans « Mein Kampf », publié en 1925, le futur dictateur allemand fait référence à l’ouvrage « Les Protocoles des Sages de Sion », un faux, imaginé en 1902 dans la Russie tsariste, qui raconte un plan de domination du monde par les juifs et les francs-maçons. « Les Protocoles », traduit en allemand en 1909, permettent à Hitler de justifier la théorie du complot juif. Et plus tard l’extermination de six millions de juifs. Si les manuels scolaires qataris s’inspirent des « Protocoles », ils se gardent toutefois d’évoquer l’Holocauste, et donc de le cautionner. Les cours évoquent pourtant la haine de l’Allemagne nazi à l’encontre des populations juives européennes. Et, sans beaucoup de retenue, ils donnent raison au IIIe Reich.
Les élèves qataris apprennent également que les juifs ont de « mauvaises mœurs », qu’ils sont « perfides », et la plupart d’entre eux sont « immoraux ». Ils possèdent un « comportement corrompu ». Et du temps du prophète, les juifs se conduisaient en « traitres et en comploteurs ».
On a tous deux vies. La deuxième commence lorsqu'on s'aperçoit qu'on en a qu'une.