[ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Il est d'ailleurs capitaine là-bas.
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Clermont prend, en effet, un très gros avantage, à l'extérieur et est en ballotage plus que favorable pour le maintien.
"Ils arboraient une fière et belle tunique, où le bleu magnifique de la mer immense se mêlait, dans une danse superbe, avec celui, non moins élégant, du ciel vaste et infini".
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Zinedine Ferhat (32 ans) ne sera pas conservé par Angers.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Football : Diawara, Niang, Sinama-Pongolle, Ba et Mesloub attendus à Caucriauville pour un match de gala
Deuxième édition du duel entre la Team Diawara (Souleymane) et la Team Niang (Mamadou), ce samedi 24 mai 2025 au stade Jules-Ladoumègue de Caucriauville (15 heures). Un match à caractère caritatif, dont les bénéfices seront reversés à l’association Mariam Touré.
Souleymane Diawara et Mamadou Niang seront les deux têtes d’affiche du match de gala organisé ce samedi 24 mai 2025 au stade Jules-Ladoumègue de Caucriauville (15 heures)
Il y a forcément de la revanche dans l’air. Où quand la Team emmenée par Souleymane Diawara, largement dominée l’an dernier, tentera de prendre sa revanche sur la Team Mamadou Niang. Oui, ce samedi 24 mai 2025 au stade Jules-Ladoumègue, théâtre d’une saison qui devrait propulser le Havre Caucriauville Sportif en National 3, les deux hommes, enfants du quartier, à la carrière professionnelle rythmée de grands moments et de titres, se hisseront comme les grands acteurs d’une journée pas comme les autres.
Organisé par Franck Lebreton, Mylène Mabire et Samba Niasse, l’évènement laisse en effet filtrer un caractère caritatif, dédié à l’association Mariam Touré (aide humanitaire, aide aux personnes âgées, etc.). Une cause, des causes, ralliées par de nombreux « retraités » du football, et pas que, annoncés ce samedi à « Caucri ». Jugez plutôt.
Un tournoi U17 en ouverture
Aux côtés de Souleymane Diawara, il sera possible de voir notamment à l’œuvre Olivier Davidas, l’un des artisans de l’accession du HAC en 2008, le Brésilien Rudison, l’arbitre et ex-défenseur de Bastia et d’Angers Gaël Angoula, Florent Sinama-Pongolle, Amadou Alassane et Johny Placide, toujours en activité (Bastia). Dans les rangs de l’équipe « dirigée » par Mamadou Niang, là aussi se côtoieront quelques noms ronflants. On nommera l’ex-Havrais et Lensois Walid Mesloub, l’ancien attaquant de Chelsea Demba Ba, mais aussi Karim Ziani, passé, entre autres clubs, par Troyes, Marseille et Wolfsburg (All), mais aussi l’ex-Nantais Rémi Gomis.
À 15 heures, le face-à-face, on ne peut plus amical, débutera donc. Soit le point d’orgue d’une journée dont le coup d’envoi sera donné dès 10 heures, sur fond de tournoi U17 avec, en lice, Caucriauville, QRM, l’ESMGO et Frileuse. Alors qu’en lever de rideau du match de gala, l’Armée du Salut donnera la réplique à l’AHAPS (Association Havraise d’Action et de Promotion Sociale), partenaires de cette manifestation. Celle qui devrait attirer plus de 2 000 spectateurs.
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
Deuxième édition du duel entre la Team Diawara (Souleymane) et la Team Niang (Mamadou), ce samedi 24 mai 2025 au stade Jules-Ladoumègue de Caucriauville (15 heures). Un match à caractère caritatif, dont les bénéfices seront reversés à l’association Mariam Touré.
Souleymane Diawara et Mamadou Niang seront les deux têtes d’affiche du match de gala organisé ce samedi 24 mai 2025 au stade Jules-Ladoumègue de Caucriauville (15 heures)
Il y a forcément de la revanche dans l’air. Où quand la Team emmenée par Souleymane Diawara, largement dominée l’an dernier, tentera de prendre sa revanche sur la Team Mamadou Niang. Oui, ce samedi 24 mai 2025 au stade Jules-Ladoumègue, théâtre d’une saison qui devrait propulser le Havre Caucriauville Sportif en National 3, les deux hommes, enfants du quartier, à la carrière professionnelle rythmée de grands moments et de titres, se hisseront comme les grands acteurs d’une journée pas comme les autres.
Organisé par Franck Lebreton, Mylène Mabire et Samba Niasse, l’évènement laisse en effet filtrer un caractère caritatif, dédié à l’association Mariam Touré (aide humanitaire, aide aux personnes âgées, etc.). Une cause, des causes, ralliées par de nombreux « retraités » du football, et pas que, annoncés ce samedi à « Caucri ». Jugez plutôt.
Un tournoi U17 en ouverture
Aux côtés de Souleymane Diawara, il sera possible de voir notamment à l’œuvre Olivier Davidas, l’un des artisans de l’accession du HAC en 2008, le Brésilien Rudison, l’arbitre et ex-défenseur de Bastia et d’Angers Gaël Angoula, Florent Sinama-Pongolle, Amadou Alassane et Johny Placide, toujours en activité (Bastia). Dans les rangs de l’équipe « dirigée » par Mamadou Niang, là aussi se côtoieront quelques noms ronflants. On nommera l’ex-Havrais et Lensois Walid Mesloub, l’ancien attaquant de Chelsea Demba Ba, mais aussi Karim Ziani, passé, entre autres clubs, par Troyes, Marseille et Wolfsburg (All), mais aussi l’ex-Nantais Rémi Gomis.
À 15 heures, le face-à-face, on ne peut plus amical, débutera donc. Soit le point d’orgue d’une journée dont le coup d’envoi sera donné dès 10 heures, sur fond de tournoi U17 avec, en lice, Caucriauville, QRM, l’ESMGO et Frileuse. Alors qu’en lever de rideau du match de gala, l’Armée du Salut donnera la réplique à l’AHAPS (Association Havraise d’Action et de Promotion Sociale), partenaires de cette manifestation. Celle qui devrait attirer plus de 2 000 spectateurs.
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Football : Souleymane Diawara et Mamadou Niang, leur cœur bat pour « Caucri »
La deuxième édition du face-à-face entre la Team « Souley » et la Team « Mamad », match de gala organisé au profit de l’association Mariam Touré, s’est déroulée ce samedi 24 mai 2025 sur la pelouse du stade Jules-Ladoumègue au Havre.
Mamadou Niang (à gauche) et Souleymane Diawara réunis, l’espace d’un match de gala, au profit de l’association Mariam Touré
Du beau monde, du très beau monde, autour de Souleymane Diawara et de Mamadou Niang, deux des nombreux talents issus de Caucriauville, deux hommes qui ont été ensemble sacrés champions de France sous les couleurs de l’Olympique de Marseille (2010). Entretien avec deux personnages du quartier havrais.
Plus qu’un duel bien évidemment amical entre la Team « Souley » et la Team « Mamad », que représente pour vous cette journée ?
Mamadou Niang : « C’est d’abord pour une association qui nous tient à cœur, parce qu’elle a été créée par notre meilleur ami en mémoire des mamans disparues. Mais c’est aussi l’occasion de rassembler tout le monde, tous ceux qui ont réussi en restant au Havre ou en tentant leur chance ailleurs. C’est un moment de partage avec les familles. Ça avait été une réussite l’année dernière, c’est pour ça qu’on est tous revenus aujourd’hui. »
Souleymane Diawara : « C’est un hommage à des mamans décédées, des mamans qu’on a tous connues, avec lesquelles on a grandi, chez lesquelles on a mangé, dormi. C’est donc pour nous un moment particulier. Et c’est un grand plaisir de revenir pour la deuxième fois. Parce qu’elle est belle cette association, elle vient en aide aux petits qui ont perdu leur maman, qui sont parfois orphelins, elle aussi essaye de subvenir aux besoins de certaines familles. »
« On a grandi ici et on mourra ici »
La distance ne vous a-t-elle pas déconnecté du quartier ?
M. N. : « Pas du tout ! Ce quartier, je l’ai dans le sang. Même si je vis à Marseille, je suis toujours en contact avec la plupart de mes amis d’enfance, toujours au courant de l’actualité du quartier. On a grandi ici et on mourra ici. Je ne me prends pas du tout pour un ambassadeur, mais je suis fier de pouvoir représenter le quartier par rapport à ce que j’ai pu faire dans ma carrière. Mais je n’ai rien de plus que les autres, je suis tout simplement un enfant du Havre, un enfant de Caucri. »
S. D. : « Rien ne peut me déconnecter du quartier. J’essaie de venir le plus souvent possible voir les amis et la famille. Je suis presque né ici (NDLR : il est natif de Gabou, au Sénégal), j’ai grandi ici. J’ai tout ici. Et puis quelle fierté de voir que tant de gens du quartier ont réussi dans la vie. C’est un peu bateau de dire ça, mais quand tu viens d’un quartier difficile, ce n’est vraiment pas évident. Mais quand tu as la volonté, tu peux réussir. »
« Oh là, moi, je ne suis plus du tout dans le foot »
Peut-être qu’au terme d’une finale d’accession qui l’opposera à l’US Trouville-Deauville le 31 mai à Pacy-sur-Eure, Caucriauville se hissera en National 3. Pourriez-vous offrir une aide particulière au club ?
M. N. : « Si le club fait appel à nous, ce sera avec grand plaisir. Si on peut les soutenir pour leur donner de la force, les aider à avancer, à aller le plus haut possible, bien évidemment qu’on sera là. Mais voir le club en être là aujourd’hui est une fierté. Il y a toujours eu de bons dirigeants, de bons éducateurs. Si j’ai pu réussir, c’est grâce aux gens de club, ceux qui m’ont accompagné, soutenu, aidé. Je me souviens de tous les grands qui m’ont aidé, avec des petits gestes, afin que je puisse aller faire des essais à droite à gauche. Car à l’époque, financièrement, ce n’était pas évident pour moi. »
S. D. : « Oh là, moi, je ne suis plus du tout dans le foot, et je ne me vois pas y revenir, même ici. Maintenant, cette saison, j’ai eu la chance d’assister à beaucoup de matches, de voir que cette équipe était vraiment de qualité. Et s’ils ont besoin d’un conseil, pourquoi pas. Mais je sais qu’il y a suffisamment de compétences au club pour l’aider à grandir un peu plus encore. Je leur souhaite vraiment de monter. »
« Je n’ai pas la prétention d’être le Louis Nicollin du Sénégal »
Que devenez-vous ?
M. N. : « Je suis consultant pour Canal + Afrique. Je sillonne le monde et je profite beaucoup de ma famille. »
S. D. : « J’ai essayé de rester dans le sport, mais ça n’a pas marché. Et là, je suis dans l’environnement, dans l’agriculture aussi, en Afrique. Et ça se passe très bien. J’ai une société de ramassage d’ordures et on essaie de faire de la transformation en énergie. En fait, tout a commencé en 2006. J’étais en sélection (du Sénégal), et pendant un quartier libre, on est parti se promener avec Ibrahim Tall, mon partenaire à Sochaux, et on a vu qu’il y avait un gros problème avec les déchets. On y a réfléchi et on s’est dit que le Sénégal avait vraiment besoin de camions poubelle. Attention, je n’ai pas la prétention d’être le Louis Nicollin du Sénégal (NDLR : l’ancien président de Montpellier, décédé, était à la tête d’un vaste ensemble d’entreprises de nettoyage urbain, de ramassage et de traitement des déchets ménagers et industriels). Mais si je peux y arriver, pourquoi pas ! Plus sérieusement, l’idée est juste d’aider le pays. »
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
La deuxième édition du face-à-face entre la Team « Souley » et la Team « Mamad », match de gala organisé au profit de l’association Mariam Touré, s’est déroulée ce samedi 24 mai 2025 sur la pelouse du stade Jules-Ladoumègue au Havre.
Mamadou Niang (à gauche) et Souleymane Diawara réunis, l’espace d’un match de gala, au profit de l’association Mariam Touré
Du beau monde, du très beau monde, autour de Souleymane Diawara et de Mamadou Niang, deux des nombreux talents issus de Caucriauville, deux hommes qui ont été ensemble sacrés champions de France sous les couleurs de l’Olympique de Marseille (2010). Entretien avec deux personnages du quartier havrais.
Plus qu’un duel bien évidemment amical entre la Team « Souley » et la Team « Mamad », que représente pour vous cette journée ?
Mamadou Niang : « C’est d’abord pour une association qui nous tient à cœur, parce qu’elle a été créée par notre meilleur ami en mémoire des mamans disparues. Mais c’est aussi l’occasion de rassembler tout le monde, tous ceux qui ont réussi en restant au Havre ou en tentant leur chance ailleurs. C’est un moment de partage avec les familles. Ça avait été une réussite l’année dernière, c’est pour ça qu’on est tous revenus aujourd’hui. »
Souleymane Diawara : « C’est un hommage à des mamans décédées, des mamans qu’on a tous connues, avec lesquelles on a grandi, chez lesquelles on a mangé, dormi. C’est donc pour nous un moment particulier. Et c’est un grand plaisir de revenir pour la deuxième fois. Parce qu’elle est belle cette association, elle vient en aide aux petits qui ont perdu leur maman, qui sont parfois orphelins, elle aussi essaye de subvenir aux besoins de certaines familles. »
« On a grandi ici et on mourra ici »
La distance ne vous a-t-elle pas déconnecté du quartier ?
M. N. : « Pas du tout ! Ce quartier, je l’ai dans le sang. Même si je vis à Marseille, je suis toujours en contact avec la plupart de mes amis d’enfance, toujours au courant de l’actualité du quartier. On a grandi ici et on mourra ici. Je ne me prends pas du tout pour un ambassadeur, mais je suis fier de pouvoir représenter le quartier par rapport à ce que j’ai pu faire dans ma carrière. Mais je n’ai rien de plus que les autres, je suis tout simplement un enfant du Havre, un enfant de Caucri. »
S. D. : « Rien ne peut me déconnecter du quartier. J’essaie de venir le plus souvent possible voir les amis et la famille. Je suis presque né ici (NDLR : il est natif de Gabou, au Sénégal), j’ai grandi ici. J’ai tout ici. Et puis quelle fierté de voir que tant de gens du quartier ont réussi dans la vie. C’est un peu bateau de dire ça, mais quand tu viens d’un quartier difficile, ce n’est vraiment pas évident. Mais quand tu as la volonté, tu peux réussir. »
« Oh là, moi, je ne suis plus du tout dans le foot »
Peut-être qu’au terme d’une finale d’accession qui l’opposera à l’US Trouville-Deauville le 31 mai à Pacy-sur-Eure, Caucriauville se hissera en National 3. Pourriez-vous offrir une aide particulière au club ?
M. N. : « Si le club fait appel à nous, ce sera avec grand plaisir. Si on peut les soutenir pour leur donner de la force, les aider à avancer, à aller le plus haut possible, bien évidemment qu’on sera là. Mais voir le club en être là aujourd’hui est une fierté. Il y a toujours eu de bons dirigeants, de bons éducateurs. Si j’ai pu réussir, c’est grâce aux gens de club, ceux qui m’ont accompagné, soutenu, aidé. Je me souviens de tous les grands qui m’ont aidé, avec des petits gestes, afin que je puisse aller faire des essais à droite à gauche. Car à l’époque, financièrement, ce n’était pas évident pour moi. »
S. D. : « Oh là, moi, je ne suis plus du tout dans le foot, et je ne me vois pas y revenir, même ici. Maintenant, cette saison, j’ai eu la chance d’assister à beaucoup de matches, de voir que cette équipe était vraiment de qualité. Et s’ils ont besoin d’un conseil, pourquoi pas. Mais je sais qu’il y a suffisamment de compétences au club pour l’aider à grandir un peu plus encore. Je leur souhaite vraiment de monter. »
« Je n’ai pas la prétention d’être le Louis Nicollin du Sénégal »
Que devenez-vous ?
M. N. : « Je suis consultant pour Canal + Afrique. Je sillonne le monde et je profite beaucoup de ma famille. »
S. D. : « J’ai essayé de rester dans le sport, mais ça n’a pas marché. Et là, je suis dans l’environnement, dans l’agriculture aussi, en Afrique. Et ça se passe très bien. J’ai une société de ramassage d’ordures et on essaie de faire de la transformation en énergie. En fait, tout a commencé en 2006. J’étais en sélection (du Sénégal), et pendant un quartier libre, on est parti se promener avec Ibrahim Tall, mon partenaire à Sochaux, et on a vu qu’il y avait un gros problème avec les déchets. On y a réfléchi et on s’est dit que le Sénégal avait vraiment besoin de camions poubelle. Attention, je n’ai pas la prétention d’être le Louis Nicollin du Sénégal (NDLR : l’ancien président de Montpellier, décédé, était à la tête d’un vaste ensemble d’entreprises de nettoyage urbain, de ramassage et de traitement des déchets ménagers et industriels). Mais si je peux y arriver, pourquoi pas ! Plus sérieusement, l’idée est juste d’aider le pays. »
Par Benoît Donckele de Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Salifou Soumah ancien qui n'a pas eu sa chance sous l'ère elsner est demandé par beaucoup de clubs
- Merineferet
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Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Notre ancien attaquant Jamal Thiare, qui offre la victoire pour Atlanta, contre Orlando, à la 95è.
Il avait marqué, lors du précédent match, à la 94è.
Fidèle à notre devise de ne jamais rien lâcher.
Il avait marqué, lors du précédent match, à la 94è.
Fidèle à notre devise de ne jamais rien lâcher.
"Ils arboraient une fière et belle tunique, où le bleu magnifique de la mer immense se mêlait, dans une danse superbe, avec celui, non moins élégant, du ciel vaste et infini".
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Victor Hugo, pour le Paris-Normandie.
Re: [ANCIENS HACMEN] Que deviennent-ils ?
Et deux matchs encore avant il avait marqué à la 92e minute.Merineferet a écrit : ↑29 mai 2025 08:02 Notre ancien attaquant Jamal Thiare, qui offre la victoire pour Atlanta, contre Orlando, à la 95è.
Il avait marqué, lors du précédent match, à la 94è.
Fidèle à notre devise de ne jamais rien lâcher.
Je reste persuadé qu’avec Thiare au HAC, Abdoulaye Toure aurait fini avec 15 buts au compteur
